Par Aurélie Vangeon, Naturopathe
Éternuements, picotements dans la gorge, yeux qui pleurent… Ces symptômes sont courants pour environ une personne sur trois à l’approche du printemps et portent le nom de rhinite allergique saisonnière. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, en 2050 les allergies toucheront la moitié de la population mondiale.
En bref, face à un élément inoffensif (par exemple du pollen de bouleau) le système immunitaire réagit de manière disproportionnée et libère alors de l’histamine, responsable du processus inflammatoire. La pollution aggrave le problème en fragilisant les muqueuses respiratoires.
Les allergènes peuvent être variés : Ambroisie, Graminées, Bouleau, Noisetier… Mais cela se complique quand certaines protéines allergisantes sont structurellement similaires à un type d’aliments (pomme, amande…).
Il est difficile de limiter le contact avec les allergènes, mais il est possible d’agir en prévention pour préparer au mieux l’organisme à cette période.